La forme la plus fréquente de démence. Elle est caractérisée par une détérioration lente mais progressive des fonctions intellectuelles et comportementales jusqu’à la démence, conduisant à la dépendance totale et à la mort par complication de cet état : troubles respiratoires, infections, embolies, thromboses, phlébites … Elle engendre une perte de mémorisation de faits et informations récents et d’occasion des troubles d’attention, de planification et d’abstraction.
C’est une maladie en pleine explosion. Cette pandémie touche le monde « intellectualisé, occidental » et des personnes ayant un microbiote pauvre !
Des plaques β-amyloïdes sur la photo
Le grand médiateur est le virus herpès de type 1 ! Le virus empreinte la voie du nerf vague gauche, qui relie les intestins au cerveau. Il va tout endommager, créer une inflammation cérébrale, épuiser la réponse acide urique. De plus, le virus herpès contient une protéine qui est identique à la p-Tau, d’où le développement de maladies auto-immunes.
L’utilisation des anxiolytiques ou somnifères tels que les antidépresseurs tricycliques, antihistaminiques de 1ère génération, antispasmodiques, anticholinergiques, neuroleptiques, joue un rôle dans l’apparition de la maladie.
Les études ont montré que le facteur génétique – le gène ApoE4 – tout seul ne peut pas être déclencheur de la maladie. Par contre, le facteur génétique associé au métabolisme du cholestérol est probablement une des causes les plus aggravantes. Le développement de la maladie dépend étroitement de l’alimentation, car nous nous sommes aperçus qu’au Niger, par exemple, il y n’avait aucun effet sur la population portant ce gène. Ce dernier s’exprime uniquement quand il y a déviation alimentaire, causant un syndrome métabolique accompagné par une hypertension artérielle, le cholestérol, le tabagisme ou le diabète. (Étude :)
La présence de métaux lourds est exclure.
Études :
Cet article était rédigé d’après les publications du Dr. Bruno Donatini.
Le Dr Bruno Donatini est gastro-entérologue, hépatologue, cancérologue et immunologue et diplômé d’ostéopathie.
Il anime des conférences en France et à l’étranger pour divulguer ses recherches médicales, ses nouvelles connaissances scientifiques et outils thérapeutiques au service de la guérison.
Ses recherches ont débouché sur de nouvelles stratégies thérapeutiques efficaces dans la prise en charge des pathologies immunitaires (cancers, auto-immunité, etc.), infectieuses (Helicobacter Pilori, Epstein Barr, Herpès, etc.), dégénératives (Alzheimer, Arthrose, etc.) ou digestives (perméabilité digestive, syndrome métabolique, etc.).
Selon le Dr Bruno Donatini :
« L’excès de bactéries intestinales conduit à l’excès de fermentation, à la production d’acides gras et d’alcool d’où l’apparition de graisse viscérale et d’inflammation hépatique. C’est le début du syndrome métabolique : surpoids, cholestérol, hypertension, diabète, etc. »
« Par ailleurs, certaines bactéries consomment beaucoup de tryptophane et privent l’organisme de sérotonine d’où la survenue de dépressions sévères. »
« L’inflammation chronique et la perméabilité des méninges favorisent la survenue de démences ; cause émergente de maladies neurodégénératives ».