Ildiko Tiber
Votre Bioénergéticienne et Naturopathe près de Rouen
Ildiko Tiber
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La dépression débuterait-elle de nos intestins ?

Comment sortir du mal-être?

La dépression débuterai-t-elle de nos intestins ?

De nos jours, la dépression guette souvent à notre porte. Voici en quelques lignes comment comprendre et traiter la dépression pour s'en débarrasser définitivement en quelques mois.

Un titre

Témoignage, Philippe 71 ans

« Je souffrais de nombreux problèmes : digestion difficile, stress, et déprime tout cela accompagnés d’insomnies peuplées de cauchemars.

J’ai retrouvé gout à la vie grâce au traitement et à l’accompagnement de Mme Tiber qui m’a permis de diminuer mes médicaments et de retrouver mon énergie avec la méthode ACMOS. Dommage de ne pas l’avoir connu plus tôt. »

Quelles sont les causes ?

3. Le stress chronique

 

Dans un état de stress, le cerveau a besoin de beaucoup d’énergie pour surmonter la situation.  Comme il ne peut pas stocker l’énergie, alors il va en réclamer immédiatement auprès de l’intestin. Les mouvements des intestins, qui nous permettent d’avancer le bol alimentaire, sont ralentis et nous nous retrouvons avec de la constipation et/ou des diarrhées, une douleur qui engendrent un surcroît de fatigue. L’intestin ralentit également sa propre irrigation sanguine, produit moins de mucus, et donc les parois de l’intestin deviennent de plus en plus fragiles. Sachant que :

  1. c’est dans l’intestin que se trouvent les cellules de notre système de défense qui vont sécréter d’importantes quantités de messagers chimiques afin de sensibiliser le « cerveau de l’intestin » ;
  2. les bactéries de la flore intestinale subissent également un changement. Celles qui sont les plus agressives survivent et sécrètent des toxines engendrant fièvre et inflammation dans l'intestin grêle, ce qui favorise la perméabilité intestinale. Les toxines gagnent les zones fragiles, comme le système nerveux central, et elles y introduisent une inflammation, qui va devenir chronique. Mais elles peuvent également causer une inflammation partout dans notre organisme et être à l’origine de tendinites, d’arthrose ou d’une prise de poids.

 

Si cette situation dure, un état de fatigue chronique, un manque d’appétit, un mal-être, des coliques ou des vomissements (surtout matinaux), des hémorroïdes, etc., seront là pour nous accompagner.  

2. L’inflammation

Quand l'intestin va mal, il y a forcément une inflammation à cette endroit. Elle se manifeste par  une activation des globules blanc qui vont induire la synthèse des médiateurs inflammatoires.  Cette augmentation des médiateurs crée des troubles de comportement et enclenche la dépression. 

 

Pourquoi nous dormons mal quand nous sommes en inflammation?

L’inflammation favorise également la dégradation d’un acide aminé, le tryptophane, qui est le précurseur de l’hormone de la bonne humeur, la sérotonine. Qui elle-même, est le précurseur de l’hormone du sommeil, la mélatonie. L’insuffisance en sérotonine peut donc aboutir à une difficulté d’endormissement, à des fluctuations dans l’humeur, à de l’irritabilité, à des crises de colère ou à de l’agressivité, à de l’anxiété, à la toxicomanie, à des compulsions alimentaires (telles que la boulimie ou l’anorexie) à cause d’une forte envie de sucre ou d’aliments gras, ou sinon à un manque d’appétit. 

 

Selon le Dr. Bruno Donatini, l'origine de la dépression sera-t-il digestive, car la source de l'inflammation est un déséquilibre de la flore intestinale. 

1. La malabsorption du fructose

Selon le travail de M. LEDOCHOWSKI en 1998, la dépression est très probablement rattachée à la malabsorption du fructose au niveau de l’intestin grêle. Il a constaté un lien avec la production de méthane fermenté dans l’intestin par une des grandes familles bactériennes de la flore intestinale, les firmicutes. Si les sucres sont mal absorbés, il y aura beaucoup de résidus et une pullulation intestinale avec de la production de gaz et de graisses. Ces grandes quantités toxines engendrent fièvre et inflammation dans l'intestin grêle qui favorisent la perméabilité intestinale. Puisque la porte est ouverte, les toxines entrent dans la circulation sanguine et gagnent les zones fragiles comme les gaines tendineuses, les articulations, les glandes endocrines ou le système nerveux central. Ils y introduisent l’inflammation, les troubles hormonaux, l’insomnie ou la  dépression.

 

Une étude britannique a montré* un lien entre des niveaux élevés d’intrelukine 6 (la synthèse d’intermédiaires inflammatoires) et la survenue de dépression à l’âge adulte.

 

On peut conclure que la dépression est donc directement liée à un déséquilibre de la flore intestinale.

 

: Khandaker G.M. and al. Association of serum interlukin 6 and C-reactive protein in childhood with depression and psychosis in young adult life.

4. Les virus et les virus buccaux

Les virus présents dans notre organisme peuvent attendre le cerveau par le nerf vague gauche. C'est un grand nerf qui part de la base du crâne, suit l'oesophage, l'estomac et va innerver l'ensemble de l'intestin grêle et la moitié du côlon. C'est lui qui établi le contact entre notre tube digestif et le cerveau. Les virus, et surtout les virus buccaux peuvent prendre ce chemin et modifier le comportement et favorisent anxiété. 

Les virus herpétiques, qui sont responsable pour un simple fièvre de buton, peuvent remontrer vers le cerveau et modifier le comportement des individus en les rendant angoissés, instables, hyperactifs. 

Le traitement

1. Éliminer les grandes pathologies

Insuffisance cardiaque, respiratoire, rénale, hépatique, métabolique.

2. Traitement

  • Traiter le déséquilibre du microbiote intestinal. 
  • Eradiquer les virus également à l'aide des mycéliums tels que le Reishi et le Tramète Versicolor. Ils sont connus de leurs vertus anti-herpétique et antiviral.
  • Baisser l'inflammation cérébrale et digestive par les anti-inflammatoires naturels et par les acides gras oméga-3. Ces derniers sont indispensable pour notre organisme, important pour la modulation des processus inflammatoires. 
  • Aider le foie à retrouver ses capacités de bon fonctionnement en supprimant les maladies herpétiques comme le NASH (le foie gras non alcoolique). 
  • Limiter la consommation des aliments sucrés, des fruits, des graisses saturées (surtout la viande rouge), de l'alcool, des excitants, du tabac, des édulcorants de synthèse, des additifs alimentaires et des exhausteurs de goût. 

3. Rééducation musculo-squelettique

L’activité physique vise également à vider l’estomac et le duodénum. Il a été démontré par une étude de l’Université de Duke que l’exercice physique de 30 minutes (avec transpiration) et 3 fois par semaine a des effets bénéfiques sur la dépression. Elle est aussi efficace que les anti-dépresseurs!

Source :Jean Marie Samori, Les virus, A l’origine des principales maladies d’aujourd’hui ?

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