De nos jours, la dépression guette souvent à notre porte. Voici en quelques lignes comment comprendre et traiter la dépression pour s'en débarrasser définitivement en quelques mois.
Un titre
« Je souffrais de nombreux problèmes : digestion difficile, stress, et déprime tout cela accompagnés d’insomnies peuplées de cauchemars.
J’ai retrouvé gout à la vie grâce au traitement et à l’accompagnement de Mme Tiber qui m’a permis de diminuer mes médicaments et de retrouver mon énergie avec la méthode ACMOS. Dommage de ne pas l’avoir connu plus tôt. »
Dans un état de stress, le cerveau a besoin de beaucoup d’énergie pour surmonter la situation. Comme il ne peut pas stocker l’énergie, alors il va en réclamer immédiatement auprès de l’intestin. Les mouvements des intestins, qui nous permettent d’avancer le bol alimentaire, sont ralentis et nous nous retrouvons avec de la constipation et/ou des diarrhées, une douleur qui engendrent un surcroît de fatigue. L’intestin ralentit également sa propre irrigation sanguine, produit moins de mucus, et donc les parois de l’intestin deviennent de plus en plus fragiles. Sachant que :
Si cette situation dure, un état de fatigue chronique, un manque d’appétit, un mal-être, des coliques ou des vomissements (surtout matinaux), des hémorroïdes, etc., seront là pour nous accompagner.
Quand l'intestin va mal, il y a forcément une inflammation à cette endroit. Elle se manifeste par une activation des globules blanc qui vont induire la synthèse des médiateurs inflammatoires. Cette augmentation des médiateurs crée des troubles de comportement et enclenche la dépression.
Pourquoi nous dormons mal quand nous sommes en inflammation?
L’inflammation favorise également la dégradation d’un acide aminé, le tryptophane, qui est le précurseur de l’hormone de la bonne humeur, la sérotonine. Qui elle-même, est le précurseur de l’hormone du sommeil, la mélatonie. L’insuffisance en sérotonine peut donc aboutir à une difficulté d’endormissement, à des fluctuations dans l’humeur, à de l’irritabilité, à des crises de colère ou à de l’agressivité, à de l’anxiété, à la toxicomanie, à des compulsions alimentaires (telles que la boulimie ou l’anorexie) à cause d’une forte envie de sucre ou d’aliments gras, ou sinon à un manque d’appétit.
Selon le Dr. Bruno Donatini, l'origine de la dépression sera-t-il digestive, car la source de l'inflammation est un déséquilibre de la flore intestinale.
Selon le travail de M. LEDOCHOWSKI en 1998, la dépression est très probablement rattachée à la malabsorption du fructose au niveau de l’intestin grêle. Il a constaté un lien avec la production de méthane fermenté dans l’intestin par une des grandes familles bactériennes de la flore intestinale, les firmicutes. Si les sucres sont mal absorbés, il y aura beaucoup de résidus et une pullulation intestinale avec de la production de gaz et de graisses. Ces grandes quantités toxines engendrent fièvre et inflammation dans l'intestin grêle qui favorisent la perméabilité intestinale. Puisque la porte est ouverte, les toxines entrent dans la circulation sanguine et gagnent les zones fragiles comme les gaines tendineuses, les articulations, les glandes endocrines ou le système nerveux central. Ils y introduisent l’inflammation, les troubles hormonaux, l’insomnie ou la dépression.
Une étude britannique a montré* un lien entre des niveaux élevés d’intrelukine 6 (la synthèse d’intermédiaires inflammatoires) et la survenue de dépression à l’âge adulte.
On peut conclure que la dépression est donc directement liée à un déséquilibre de la flore intestinale.
* : Khandaker G.M. and al. Association of serum interlukin 6 and C-reactive protein in childhood with depression and psychosis in young adult life.
Les virus présents dans notre organisme peuvent attendre le cerveau par le nerf vague gauche. C'est un grand nerf qui part de la base du crâne, suit l'oesophage, l'estomac et va innerver l'ensemble de l'intestin grêle et la moitié du côlon. C'est lui qui établi le contact entre notre tube digestif et le cerveau. Les virus, et surtout les virus buccaux peuvent prendre ce chemin et modifier le comportement et favorisent anxiété.
Les virus herpétiques, qui sont responsable pour un simple fièvre de buton, peuvent remontrer vers le cerveau et modifier le comportement des individus en les rendant angoissés, instables, hyperactifs.
Insuffisance cardiaque, respiratoire, rénale, hépatique, métabolique.
L’activité physique vise également à vider l’estomac et le duodénum. Il a été démontré par une étude de l’Université de Duke que l’exercice physique de 30 minutes (avec transpiration) et 3 fois par semaine a des effets bénéfiques sur la dépression. Elle est aussi efficace que les anti-dépresseurs!
Source :Jean Marie Samori, Les virus, A l’origine des principales maladies d’aujourd’hui ?